Les retards causés par les embouteillages, les chantiers ou les ponts fermés à Montréal coûtent très cher à l’industrie du camionnage, qui songe à imposer une surprime pour les livraisons et le ramassage des marchandises sur l'île.
La Presse écrit ce matin que l’industrie estime à 275M$ par année les pertes causées par les conditions de circulation difficiles qui prévalent sur l’île de Montréal, sans compter l’impact environnemental des milliers de véhicules immobilisés.
Selon le président de l’Association du camionnage du Québec (ACQ), Marc Cadieux, les gains économiques réalisés depuis quelques années grâce aux programmes de réduction de consommation de carburant ont été effacés en quelques mois dans la congestion routière.
M. Cadieux a toutefois tenu à relativiser la possibilité d’une surprime aux embouteillages. En Amérique du Nord, seule l’île de Mahattan est frappée par une surprime. Mais selon les membres de l’Assocation, la situation sur l’île de Montréal commence à ressembler à celle de New York.
L’ACQ compte près de 1000 membres dont leurs chiffres d’affaires totalisent 2,5G$. L’Association représente environ 80% des activités du camionnage pour le compte d’autrui, au Québec.
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Tout de même assez spécial de voir que les cies ne se tiennent pas pour les prix et qu'ensuite il essaient de charger à quelques part......
Sacré organisation de broche à foin ACQ.......
Il semble que tout les moyens sont bon pour essayer d,aller chercher 1 $ dans le transport
Pathétique...